Ce type d'exercice peut être résolu à l'aide de la fonction : suite
On appelle suite numérique toute application de `NN` ou d'une partie de `NN` vers `RR`.
Dire qu'une suite (`u_(n)`) est arithmétique signifie qu'il existe un réel r tel que pour tout naturel n, `u_(n+1)`=`u_(n)`+r. Le réel r est appelé la raison de la suite (`u_(n)`).
Si (`u_(n)`) est une suite arithmétique de premier terme `u_(0)`, et de raison r. Alors pour tout naturel n, `u_(n)=u_(0)+nr`
Si S=a+...+k est la somme de p termes consécutifs d'une suite arithmétique alors `S = p(a+k)/2`. On en déduit que `1+2+3+...+n=n(n+1)/2`
Dire qu'une suite (`u_(n)`) est géométrique signifie qu'il existe un réel q tel que pour tout naturel n, `u_(n+1)`=`qu_(n)`. Le réel q est appelé la raison de la suite (`u_(n)`).
Si (`u_(n)`) est une suite géométrique de premier terme `u_(0)`, et de raison q. Alors pour tout naturel n, `u_(n)=u_(0)*q^n`
Si S=a+...+k est la somme de p termes consécutifs d'une suite géométrique de raison q (`q != 1`) alors `S = (a-k*q)/(1-q)`.
On en déduit que `1+q+q^2+...+q^n=(1-q^(n+1))/(1-q)`